
Monsieur le curé débouche l’une de ses fameuses bouteilles et en verse doucement dans le verre du rabbin qu’il a invité à dîner, en laissant le faux col qui s’impose pour que l’arôme s’épanouisse.
Monsieur le rabbin avise une cruche d’eau fraîche et complète.
Monsieur le curé, scandalisé par un tel procédé s’exclame :
« Vous baptisez votre vin ! »
« Je ne le baptise pas, je le coupe » rectifie aimablement le rabbin.
Monsieur le rabbin avise une cruche d’eau fraîche et complète.
Monsieur le curé, scandalisé par un tel procédé s’exclame :
« Vous baptisez votre vin ! »
« Je ne le baptise pas, je le coupe » rectifie aimablement le rabbin.

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